Ce climat de défiance s’inscrit dans un contexte d’insécurité croissante dans la région où des affrontements meurtriers se succèdent depuis près d’un mois. La nuit dernière, un attentat-suicide lancé par un groupe armé pro-gouvernemental contre des rebelles a fait une dizaine de morts près de Tabankort, située à mi-chemin entre Kidal et Gao. C’est justement dans cette zone que la Minusma prévoyait d’instaurer une zone tampon, afin de prévenir de nouvelles violences. Le document n’était toutefois pas destiné à être divulgué au public… Écoutez l’analyse de Jean-Hervé Jézéquel, spécialiste du Sahel à l’International Crisis Group.

Source: cw.de