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La Mauritanie désigne l’armée malienne après la mort d’une quinzaine de civils

Nouakchott met la pression sur son voisin, dirigé par une junte militaire, pour obtenir des réponses fermes sur cette tuerie.

Près d’un mois plus tard, la lumière n’a toujours pas été faite sur la tuerie dont ont été victimes des Mauritaniens, le 17 janvier dernier au Mali. À 80 km au sud de la ville mauritanienne d’Adel Bagrou, de l’autre côté de la frontière en territoire malien, plus de 15 civils ont été égorgés ce jour-là, et retrouvés dans une fosse.

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«Il y avait une dizaine d’éleveurs peuls maliens, et sept Mauritaniens, dont des transporteurs», précise le général Mesgharou Ould Sidi, le directeur général de la sécurité nationale mauritanienne. Il ajoute qu’à ce jour encore «les Maliens refusent de reconnaître que c’est une unité malienne» qui fut l’auteur de cette tuerie, thèse privilégiée à Nouakchott. En pleine déliquescence, l’État malien, dirigé par une junte militaire boycottée par ses voisins africains, a, sous la pression de son voisin, annoncé l’ouverture d’une «enquête transparente dont les résultats seront partagés» avec Nouakchott. Mais, depuis cette promesse faite le…

Le Figaro

 

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