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Kabako : il a suivi en direct les ébats se*uels entre sa femme et son voisin de 21 heures à 2 heures du matin

Comme un film interdit au moins de 18 ans, il a suivi en direct lui seul la scène qui s’est produite entre sa femme et son voisin. A la fin du film, lorsque le voisin sort de la chambre, l’homme 

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  cocufié l’assome avec un pilon. Traduit en justice, il est condamné à trois mois de prison ferme. 

La scène s’est produite au quartier « Rive gauche », à Niamana. Il s’agit d’un cultivateur, sa femme et son voisin. Les acteurs de ce film dramatique. Le cultivateur de 53 ans n’a pu accepter cette humiliation. Au tribunal voici ce que l’homme a relaté :

Selon les faits tels que racontés par l’homme de 53 ans, il reprochait à sa femme d’être trop proche du voisin. Mais cette dernière a toujours dit qu’il n’y avait rien entre les deux, seulement que le voisin est tout simplement son frère de même ethnie. Il ne se laisse pas convaincre par cette parole douteuse. Alors il met en place une stratégie pour avoir le cœur net sur ses soupçons, parce qu’il reste convaincu que sa femme a des relations intimes avec son voisin. 

Un de ces jours, parti en balade il revient plustôt que prévu à la maison vers 21 heures. Il ne trouve pas sa femme à la maison. Sans se poser de question, il se planque à la fenêtre de la chambre de son voisin, tend l’oreille contre la fenêtre, pour identifier les voix qu’il entend dans la pièce. Là, il n’y a l’ombre d’aucun doute. C’est bien la voix de sa femme et celle de son voisin. Toujours selon son récit, il reste là à tout suivre en « live » de 21 h à 2h du matin. Des câlins, à la jouissance en passant par l’orgasme et les causeries amoureuses. Il dit même avoir entendu son voisin prier sa femme infidèle, de regagner le domicile conjugal car il se faisait tard.

Et quand ils ont fini, en sortant de la chambre, le cultivateur surgit et s’écrit : « aujourd’hui, c’est aujourd’hui ! ». Dans la foulée, il se saisit d’un pilon avec lequel il frappe son voisin à la tête. Le blessant grièvement. Toujours à la barre, le paysan justifie son acte sanglant, par le grand amour qu’il porte à sa conjointe. Une justification qui s’est heurtée au parapluie de l’indifférence de la cour. Il a été condamné à trois ans de prison ferme. 

 

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