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Il ne fallait pas l’enterrer trop vite. Sepp Blatter n’a peut-être pas renoncé à la présidence de la Fédération internationale de foot. Le 2 juin, quelques jours après sa réélection, il annonçait son intention de démissionner de son poste de patron d’une institution minée par les affaires de corruption. Depuis, il entretient le flou. Et il pourrait bien se représenter finalement lors du congrès extraordinaire prévu en décembre. C’est le sens de la phrase ambiguë lâchée jeudi à Zurich, siège de la Fifa, pour sa première apparition publique depuis la révélation du scandale.