Manque de pot pour lui. Il se croyait plus malin en jetant son dévolu sur une pauvre veuve de 42 ans qu’il a voulu violer. La mémé non plus ne s’est pas laissée faire. Pour se défendre, elle a saisi les parties génitales de son agresseur.

Moussa Bâ avait l’habitude d’aller au restaurant d’une veuve de 42 ans pour se restaurer. Or la nourriture n’était pas que sa seule motivation. Il nourrissait le désir de s’offrir aussi un moment de plaisir avec la maitresse des lieux contre son gré. Il avait donc mis en place une stratégie pour agresser sexuellement la gérante du maquis.

Moussa pour sa première tentative avouera ses sentiments à la dame. Il se trouve face à un refus catégorique de cette dernière. Face à cet échec, il ne lâche pas prise et revient à la charge une deuxième fois et propose à la dame, un billet de 5000 F. Devant un deuxième refus, il quintuple la mise et propose plus tard 35 000 F. Toujours un refus de la veuve. Il reviendra encore une troisième fois avec un sac de riz. Il se retrouve toujours au même refus. Alors il décide d’employer la manière forte.

Un soir, il se rend dans le restaurant et retrouve seule la maitresse des lieux et se jette sur elle sans toute forme de préliminaires en amour. Avec ses cris d’alerte, la dame réussi a attiré l’attention du voisinage qui viendra la trouver aggriper aux parties génitales de son agresseur, selon le quotidien sénégalais L’Observateur.

Au tribunal, Moussa Bâ ne nie pas les faits : «J’ai essayé à trois reprises d’entretenir des rapports sexuels avec elle. Je lui avais proposé 5000F, puis 35000F, puis un sac de riz, en vain. Alors j’ai choisi d’abuser d’elle», relate-t-il, condamné à la peine de 3 ans ferme requise par le procureur et 50 000 FCfa d’intérêts civils.

Source: abidjan-immobilier