Fidèle à son serment de toujours tirer l’Institut National de Prévoyance Sociale vers le haut, Monsieur le Directeur Général, Bréhima Noumoussa Diallo reste imperturbable, face aux tentatives vaines d’illustres collaborateurs inconnus de lui poignarder dans le dos.
Nommé au poste de Directeur Général de l’Institut National de Prévoyance Sociale, en reconnaissance de probants résultats enregistrés sous d’autres cieux, Bréhima Noumoussa Diallo, sans fausse modestie, a gagné le pari de donner à l’Institut des proportions très satisfaisantes. Ce qui lui a toujours valu l’estime des plus hautes autorités du pays, du Conseil d’administration et de tous ses collaborateurs, qui ne sont pas dans des rivalités de clocher.
En effet, après de bons et loyaux services rendus à la Nation, le DG Bréhima Noumoussa Diallo, à l’instar de ses congénères, devrait faire valoir ses droits à la retraite. Ce qui n’est d’ailleurs plus d’actualité, après l’obtention du rallongement de l’âge de départ à la retraite par l’UNTM. Contre toute attente, deux agents de l’INPS, une dame directrice d’un département à la Direction Générale et un homme qui représente l’Institut au sein d’une autre structure, ont voulu profiter pour mettre en marche leur propre agenda. Celui de remplacer le DG par la dame. Un projet dans lequel elle est soutenue par son mari, déjà à la retraite. Une ambition, du reste, très légitime, mais très ridicule quand elle est nourrie par une personne qui a encore du chemin à faire dans l’acquisition du savoir et du savoir-faire.
En témoigne même sa nomination en qualité de directrice qui a été, pour une des rares fois, perçue comme l’une des décisions les plus impopulaires du DG Diallo qui a fait beaucoup d’efforts pour persuader ses collaborateurs de son bien-fondé.
Puisque, dit-on que le ridicule ne tue pas, notre fameuse dame n’a eu d’exercice favori que de s’abonner, sans succès, dans une campagne de conspiration aux fins de se tailler le fauteuil de DG auprès de certaines personnalités qui n’arrêtent pas encore d’en être stupéfaites. Et qui, puisque tenant en très haute estime M. Diallo, lui en informent par loyauté et pour le bonheur de l’INPS.
Comme pour banaliser l’INPS, notre fameuse louve aux dents longues devrait avoir honte d’avoir causé du tort à l’Institut qui a dépensé une somme mirobolante pour ses études en Belgique qui se sont soldées par son renvoi pur et simple pour manque de niveau.
Comme si cela ne suffisait pas, elle revient à la charge en postulant pour des études similaires au Canada. Là, elle n’y est même pas allée puisqu’elle a été lamentablement recalée dès la phase test. Soit dit au passage, c’est dans une volonté manifeste du DG à prêter main forte, à elle, comme à tous ceux qui désirent se former pour le bonheur de la structure, qu’il a accédé aux requêtes de la désormais incarnation de l’ingratitude. Sans compter que les spécialistes sauront mieux évaluer le gâchis qu’a couté cette promenade de santé en Belgique au compte des caisses de l’INPS.
A l’image de tout ce qui précède, ne serons-nous pas en droit de savoir si Madame aura-t-elle oublié le service que lui a rendu l’actuel DG ?
Le hic, c’est qu’elle pense être cachée. Or, elle a été démasquée depuis des lustres à son insu. Au lieu de se consacrer aux résultats qu’on attend d’elle, elle tente de divertir avec ses rumeurs de changement à la tête de la Direction Générale de l’INPS. Heureusement qu’à l’INPS, les travailleurs savent qu’il n’en est rien et s’emploient loyalement et avec estime avec le DG Diallo pour atteindre de nouveaux horizons.
Source: Le Soft