Alina Kabaeva était dans leur viseur. Surveillée par le département du Trésor des États-Unis (United States Department of the Treasury), la jeune compagne de Vladimir Poutine l’a échappé belle, en février dernier. Selon le DailyMail, “Les États-Unis ont délibérément évité de sanctionner la prétendue maîtresse de Vladimir Poutine craignant que cela n’attise davantage les tensions avec la Russie”, relatent nos confrères, selon un rapport dévoilé par le Wall Street Journal, ce lundi 25 avril. Parmi les sanctions, son poste de présidente du conseil d’administration du NMG a été particulièrement menacé.
Alors que l’invasion de l’Ukraine n’était encore qu’une rumeur, “les responsables à Washington pensaient que sanctionner Kabaeva serait une attaque tellement « personnelle » contre Poutine que les tensions entre la Russie et l’Occident pourraient encore s’aggraver”, lit-on. Mère supposée des derniers enfants de Vladimir Poutine et désormais millionnaire en raison de leur union, Alina Kabaeva est devenue “une cible de choix” et de potentielles sanctions, pour les opposants du dirigeant russe. En effet, “la petite amie gymnaste de Vladimir Poutine”, aurait joué un rôle “dans la dissimulation de son argent”. Loin d’être l’unique point de mire proche de l’ancien officier du KGB, “un certain nombre de personnes qui n’ont pas encore été sanctionnées”, relatent nos confrères.
L’apparition surprenante d’Alina Kabaeva à Moscou
Recluse depuis le début du conflit, la mystérieuse compagne de Vladimir Poutine a fait une première apparition publique, le 23 avril. Venue assister à une répétition rythmique junior à la VTB Arena, la supposée jeune maman portait une alliance à la main droite : “En Russie, l’alliance se porte en effet au troisième doigt de la main droite et non à la main gauche“, a précisé La Dépêche. Particulièrement touchée par la situation des athlètes russes privés de compétitions, l’ancienne championne se serait exprimée publiquement : “Il n’y a jamais eu de page aussi honteuse dans l’histoire du sport mondial. Ils ne se sont pas inquiétés et n’ont retiré de la compétition aucun pays qui a participé à la destruction de centaines de milliers de civils en Yougoslavie, en Irak, en Libye et en Syrie”, aurait-elle assuré, selon le Daily Mail.
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