Ce lundi, Libération propose dans son supplément Eté une enquête baptisée “Les élus du People”. L’occasion pour le quotidien de revenir sur le Gayet Gate et de réfléchir sur la peopolisation des hommes et des femmes politiques.
UN DRÔLE DE COUPLE À TROISUn an et demi après la révélation dans
Closer de la relation entre le président et la comédienne Julie Gayet et le départ de l’Elysée de Valérie Trierweiler s’est peu à peu mis en place un
“drôle de couple à trois” expliquent nos confrères. Blacklistée par Valérie Trierweiler, Ségolène Royal a fait son retour au gouvernement et sur la photo au côté de François Hollande, jouant le rôle, au moins symboliquement, de première dame, note le psychanalyste Gérard Miller qui a réalisé un documentaire sur la Dame du Poitou. Quant à Julie Gayet, si sa présence régulière à l’Elysée est désormais un secret de polichinelle, elle ne bénéficie d’aucun rôle officiel, qui semble aussi bien convenir au chef de l’Etat qui ne veut plus entendre parler de première dame à l’Elysée, qu’à la comédienne tout occupée qu’elle est dans le développement de sa société de production.
“IL LES CHOUCHOUTE PUIS LES DÉLAISSE”Néanmoins, nos confrères de Libération notent que si ce “couple” fonctionne pour l’instant, les choses pourraient ne pas durer En cause, le comportement de François Hollande avec les femmes : “Hollande a un comportement qui rend les nanas folles les unes après les autres. Il les chouchoute puis les délaisse, ce tourniquet les insécurise“, écrit le quotidien qui rapporte les propos d’un observateur élyséen qui n’est pas sans rappeler ce que Valérie Trierweiler a pu écrire dans son livre Merci pour ce moment.
source : closermag