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FACE AU COMPORTEMENT DE AINEA IBRAHIM CAMARA METTANT À MAL LES RELATIONS DE LA COTE D’IVOIRE AVEC DES PAYS TIERS: LA COTE D’ IVOIRE SE RÉSERVE LE DROIT DE PRENDRE DES MESURES À L’ENCONTRE DES FAUTIFS

Par des actes d’hommes politiques maliens en manque de popularité ayant trouvé refuge dans ce pays voisin, nombreux étaient les Maliens qui pensaient que la Côte -d’Ivoire était la base-arrière des politiciens qui tentent de déstabiliser les Institutions de notre pays.

Mais la sortie du ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Diomandé Vagondo a permis d’édifier l’opinion nationale et internationale.

Si les autorités de la Transition, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Africaine (UA), la Communauté Internationale et certains pays de la sous-région sont en train de travailler d’arrache-pied pour un retour à l’ordre constitutionnel, la semaine dernière, plus d’un a été surpris de voir sur les réseaux sociaux  un escroc qui était à la Prison Centrale de Bamako pour escroquerie, c’est-à-dire le président du Mouvement Républicain (MR), M. Ainéa Ibrahim Camara s’auto-proclamer président de la Transition civile du Mali, dans un hôtel de la Côte d’Ivoire. Quelques heures après cette annonce qui constitue une provocation vis-à-vis des Institutions de la République du Mali, sur ordre des autorités de ce pays, des policiers ont fait une descente chez lui. Mesurant la gravité de l’acte posé, M. Camara avait déjà pris la tangente.

Dans une lettre adressée au Procureur général près la Cour d’Appel de Bamako, le ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des (…)

TOUGOUNA A. TRAORE

Source: NOUVEL HORIZON

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