A l’exception du Parena de Tiébilé Dramé, on a constaté un silence de cimetière du côté des partis politiques, notamment de la majorité présidentielle après le départ précipité du président de la République et de la dissolution de l’Assemblée nationale.
Le silence le plus lourd a retenti chez le parti du président IBK, le RPM, qui aura attendu 24 h après la fin du régime, pour faire son premier communiqué de condamnation. Cela n’est pas étonnant vu que certains de ses militants ont participé aux différentes manifestations réclamant le départ du président de la République sortant. De cette réaction tardive, on peut en déduire une stratégie pour ne pas fâcher les nouveaux maîtres du pays. Reste à attendre si leur plan marchera leur suffira pour leur rebond.
DAK
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