L’association Espoir IBK 2018 a lancé, le 21 octobre dernier au siège du Rassemblement pour le Mali (RPM) de la Commune V du District de Bamako, l’opération trois millions de cartes NINA pour réélire IBK. C’était au cours d’une conférence de presse animée par : le président de l’Association IBK 2018, Amara Bagayoko, Abdrahamane Fofana et Sékou Bathily, concepteur du projet trois millions de cartes Nina.
L’objectif de «l’opération 3 millions de cartes NINA», déclare Amara Bagayoko, est la réélection du président de la République IBK en 2018 dès le premier tour. Elle vise aussi, dit-il, à: recenser trois millions d’électeurs potentiels prêts à voter en vue de constituer une base de données ; porter assistance aux électeurs ayant égarés leur cartes NINA et ceux dont les cartes ont été détruites ; sensibiliser et assister les nouveaux majeurs à aller compléter leur enrôlement dans les centres réservés à cet effet ; organiser des campagnes de sensibilisation pour mieux expliquer la vision et le bilan du président IBK ; renforcer les pouvoirs du président de la République en lui donnant une majorité écrasante à l’Assemblée nationale.
Cette campagne, déclare le président de l’Association IBK 2018, Amara Bagayoko, se déroulera du premier novembre 2017 au 31 Octobre 2018 sur l’ensemble du territoire national, soit deux représentants équipes par régions et cercles et coins et recoins du Mali. En somme, il s’agit de 282 membres de notre association qui feront le boulot en collaboration avec les mairies.
« Nous comptons sur notre propre force et fond d’abord pour réussir l’opération, indique le président de l’association IBK 2018. Nous avons estimé le coût de l’opération à 25, 7 millions FCFA. L’association prendra 30% du fond. Pour le reste, nous comptons sur les partenaires et les personnes ressources pou boucler les 18 millions restants», explique Amara Bagayoko. Pour ce faire, poursuit l’orateur, l’association prévoit la formation de 50 formateurs qui vont à leur tour former les autres agents.
Nos raisons de soutenir IBK, ajoute Sékou Bathily, sont simples. «Quand il venait au pouvoir, il n’y avait même presque pas d’Etat. Il a fallu ses efforts considérables dans beaucoup de domaines pour sortir le Mali du gouffre. Tout n’est pas encore réglé. Mais pour nous, quatre ans ne suffisent pas pour qu’il termine son projet pour le Mali.
Il faut qu’il continue la réconciliation des maliens et des maliennes qui n’est pas à 100% d’abord même si beaucoup a été fait ; qu’il continue à reconstruction et l’équipement de notre vaillante armée nationale ; de continuer ses soutiens à l’endroit de l’agriculture ; dans le domaine de la création d’emplois, de donner les meilleures conditions de vie aux travailleurs maliens », dit Sékou Bathily. Hadama B. Fofana
Source: Le Républicain
