Après le tripatouillage des élections législative par la cour constitutionnelle, et linstallationdune Assemblée Nationale illégitime ou illégale, elle vient de faire passer,un communiqué contre la coalition de 3 regroupements dont des partis politiques et les chef religieux une partie de la société civile.
Si la cour constitutionnelle condamne la marche programmée par ces associations politico religieuse seraient au mépris des dispositions constitutionnelles, légales et orthodoxes, brandissant ainsi comme arme les articles 24, 25, 28 121, de la constitution. Cependant, elle ne se reproche pas d’avoir violé ces articles elle même en tripatouillant les élections au grand dam de la protestation des électeurs, dissolvant ainsi les pouvoirs a la portée du Président pour nommer la personne de son choix, installant ainsi une Assemblée Nationale illégitime.
En plus loin, elle n’hésite pas à menacer les citoyens pour la réclamation de leur droits constitutionnel qui est la transparence dans les votes vu de séparer les 3 pouvoirs avec les articles ,45, 46 et 4.
Toutes les mesures seraient mises en place pour neutraliser cette marche de protestation à commencer par la police nationales qui déployeraient des citernes d’eau chaude pour asperger les manifestants. Le Premier Ministre Boubou Cissé et d’autres et le Général Salif Traoré se seraient déplacés sur Niono pour consulter le chérif de Niono.
Dans la foulée de tous ces mouvements, qu’adviendra t-il d’une démocratie en péril, prise d’assaut par une cour constitutionnelle corrompue, la mauvaise gouvernances, les tendances politico-religieuses bifaciales?
Disons nous franchement que nous ne laisserons pas notre démocratie acquise aux prix du sang des martyrs être instrumentalisée pour aucun dessein personnel.
Que tous les acteurs en mouvement aient une vision claire de la chose.Le grand remue ménage en gestation ne sera plus jamais une orange pour une seule personne à déguster et que le troc des valeurs de la patrie contre les ambitions géopolitiques des puissances étrangères doit être révolu.
Henrie SAM TRAORE