C’est un véritable tournant auquel on est en train d’assister dans la crise sécuritaire qui sévit au Mali depuis 2012. Pour la première fois, le président IBK évoque l’éventualité d’un dialogue avec les chefs terroristes comme Iyad Ag Ghali et Amadou Koufa. Alors que, jusqu’ici, il avait rejeté toutes les propositions allant dans ce sens formulées lors de la Conférence d’Entente Nationale, en 2017 et le Dialogue National Inclusif, en 2019. Cette démarche avait déjà été préconisée par l’ONG International Crisis Groupe, dans un rapport paru en juin 2019.
Source : l’Indépendant