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Deux gendarmes nigériens tués dans une attaque terroriste à 2 km de la frontière du Burkina Faso

Au moins deux gendarmes nigériens ont été tués et un autre porté disparu dans une attaque terroriste de leur position près de Makalondi (ouest), à 2 km de la frontière du Burkina Faso, dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris dimanche de source sécuritaire à Niamey.

Cette attaque, qui a eu lieu aux environs de 20h00 heure locale non loin du poste de police frontalier de Makalondi, a également fait, selon la même source, un gendarme blessé, tandis que deux autres gendarmes nigériens  en sont sortis sains et saufs.

Aucun bilan officiel de l’attaque n’a été établi dimanche matin.

Cette partie occidentale du Niger, frontalière du Mali et du Burkina Faso, est devenue ces dernières années le théâtre d’opération de groupes terroristes qui mènent des attaques meurtrières dans ces trois pays contre les forces armées et les civils.

Des bandits proches de groupes djihadistes sont responsables depuis quelque temps d’assassinats, de vols et d’enlèvements de civils, a reconnu le ministre de l’Intérieur Mohamed Bazoum, récemment interpellé devant le Parlement nigérien.

C’est dans cette zone que deux militaires nigériens ont été tués au début du mois dans l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule et qu’un prêtre italien, Pierluigi Maccalli, a été enlevé en septembre dernier par des individus armés, selon une source officielle. Le missionnaire n’a toujours pas été retrouvé.

Le ministre nigérien de la Défense nationale, Kalla Moutari, en déplacement le 9 novembre dernier dans la zone pour s’enquérir de l’évolution de la situation et encourager les Forces de défense et de sécurité (FDS) de l’opération Saki, déployées pour traquer les bandits armés, a demandé aux chefs coutumiers de collaborer avec les militaires.

Un drone Reaper français s’écrase au Niger

 

Un drone de surveillance Reaper appartenant à l’armée française s’est écrasé non loin de la base aérienne de Niamey à son retour de mission, sans faire de victime, selont l’état-major français.

L’incident, qui a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi lors de la phase d’atterrissage, a été causé par «un perte de signal de ce drone alors qu’il était à proximité de la base, interrompant de fait le contrôle» de l’appareil piloté à distance (APD), a détaillé à l’AFP le porte-parole de l’état-major, le colonel Patrik Steiger. «Aucun dégât humain» n’est à déplorer, a-t-il ajouté.

Source: intellivoire

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