En 2015, Megan Hoyle a été violée à l’âge de 12 ans par un jeune homme de 17 ans.
Deux ans plus tard, lorsqu’elle a appris que la peine de son agresseur avait été réduite en appel, elle a mis fin à ses jours en avalant des médicaments à son domicile de Blackburn, en Grande-Bretagne.
La victime, âgée de 14 ans, a été transportée à l’hôpital où elle est morte le 24 février 2017.
Juste avant de se suicider, la victime a envoyé un SMS à un ami : “Si tu reçois ce message, c’est qu’il est trop tard et j’en suis désolé. Je suis désolé de ne pas avoir tenu ma promesse et je suis désolé de ne pas avoir été assez forte.”
“Je suis désolé de t’avoir laissé tomber quand tu avais peur, mais j’étais détruite. N’appelle personne, n’appelle pas d’ambulance. Laisse juste les médicaments faire leurs effets et laisse-moi partir en paix.”
La maman, prévenue par l’ami en question, s’est alors précipitée dans sa chambre où elle a découvert le corps inanimé de sa fille. Elle décédera 4 jours plus tard à l’hôpital.
La mère de Megan a expliqué que, avant son agression, sa fille était pleine de vie et que, après, “elle était discrète, en colère et avait des problèmes à l’école” a-t-elle expliqué.
Source: faitsdivers