Après les tueries des 10, 11 et 12 juillet 2020, certaines sources jurent la main sur le cœur que des forces parallèles agissent dans l’ombre. La première hypothèse est que ce sont des mercenaires qui ont agi à Badalabougou ; ensuite, on a parlé de la Forsat. Mais cette dernière hypothèse a été vite balayée par l’ancien ministre de la Sécurité, le général Sali Traoré, qui dit ne pas croire à l’implication de la Forsat dans le maintien d’ordre.
Dimanche, un avocat a émis l’hypothèse selon laquelle il pourrait y avoir des milices armées qui commencent à sévir dans la capitale. La situation est tendue de telle sorte que la question divise dans le milieu sécuritaire, où l’on craint le scénario du nord et du centre qui sont en proie à des violences armées.
Source : Sud Hebdo