Les habitants de la ville de Sikasso étaient en colère le dimanche 23 janvier 2022 contre les actes malsains dont leurs enfants ont été victimes. Ce sont les femmes des quartiers Wayerma II et Mamassoni qui s’étaient révoltées contre les vols et les meurtres des enfants pour leur sang et leurs organes. Dans cette histoire, des citoyens ont porté des soupçons sur certaines personnes qui seraient impliquées dans un trafic de sang humain. Trois d’entre elles ont été tuées, une vingtaine d’autres ont été « cueillies » par la police.
Le trafic des organes des enfants a (…)
MAHAMANE TOURE
Source: NOUVEL HORIZON