Le nom de Guillaume Soro reste associé à plusieurs affaires dont pourraient se servir ses adversaires pour tenter de lui barrer la route lors de la prochaine présidentielle.
Depuis près de neuf ans, il tente d’épousseter ses habits de patron de rébellion pour faire briller un costume de potentiel chef d’État, sans jamais y arriver tout à fait. Son nom reste associé à plusieurs affaires dont pourraient se servir ses adversaires pour tenter de lui barrer la route… En France, il est mis en cause dans le cadre de la plainte de Michel Gbagbo pour « enlèvement, séquestration, traitements inhumains et dégradants » lors de son arrestation en 2011…Lire la suite sur jeuneafrique.com