Lors d’une rencontre tenue ce lundi 25 février 2019 à Niamey au Niger, des chefs d’État et de gouvernement des dix-sept pays du Sahel ont adopté le plan d’investissement climatique pour la région du Sahel (PIC-RS) sur la période 2019-2030 pour un montant de 400 milliards de dollars (plus de 350 milliards d’euros).
Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique dans la région Sahélienne, un plan de plus de 350 milliards d’euros a été décidé par des chefs d’État et de gouvernement des dix-sept pays du Sahel pour la période 2019-2030. Chose qui nécessitera la création d’un secrétariat permanent basé à Niamey en vue de «coordonner » les projets retenus et censés atténuer les effets du réchauffement climatique au Sahel. M. Issoufou nous cite les modifications de la pluviométrie, les sécheresses récurrentes, l’avancée du désert, la raréfaction de l’eau, des pâturages et l’accentuation de la pauvreté. Chose qui nécessitera la participation des partenaires extérieurs. Si le projet voit le jour, le sahel ne sera plus une zone dont on doit craindre dans les jours à venir d’ autant plus qu’il est une zone qui abrite plus de 500 millions d’habitants pour une superficie de 10 millions de km2 est extrêmement vulnérable face aux changements climatiques. Dans tous les cas, il est fort probable que cette zone finit par être une zone de découverte. Ces informations sont issues du Le Monde.
Source: Le Pays