Manque de consensus, une série de grèves dans différents services, arrestations arbitraires. Tels sont les maux qui plombent le bon démarrage de la transition instaurée au lendemain du coup d’Etat du 18 août 2020. L’émissaire de l’ONU, Mahamat Saleh Annadif se prononçait sur la situation au Mali, hier mercredi, lors d’une visioconférence au Conseil de sécurité.
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Source : l’Indépendant