Dans le cadre de la campagne nationale de reboisement 2016, lancée le 6 Août dernier, par le premier ministre, Modibo Kéïta, la SONATAM – SA a organisé sa traditionnelle journée de reboisement à Sotuba, le vendredi 19 Août 2016, avec la plantation de 2500 plantes sur une superficie de 15 mm2 pour une valeur estimative de 8 millions F CFA.
L’événement s’est déroulé en présence des ministres de l’Environnement, de l’Assainissement et du développement Durable, Mme Kéïta Aïda M’Bo et de l’Industrie, Mohamed Aly Ag Ibrahim, de la PCA de la SONATAM, Mme Cissé Mariam Khaïdama Sidibé et de son DG, Issouf Traoré.
Il faut noter que l’ensemble du personnel de la Société nationale des Tabacs et Allumettes du Mali (SONATAM-SA) soit environ 150 personnes ont été mobilisées pour cette journée citoyenne de reboisement pour la restauration de la couverture végétale qui s’inscrit dans le cadre des activités d’utilité publique de l’entreprise.
Dans leurs interventions, les deux ministres qui ont tout d’abord visité les locaux de la SONATAM ont félicité l’entreprise pour son initiative pour cette activité importante de reboisement qui constitue un élément de réponse à l’appel lancé par le Premier ministre dans le cadre de la campagne nationale de reboisement pour un Mali vert.
Le ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable, Mme Kéïta Aïda M’Bo a également relevé que la SONATAM n’est pas à première édition. Pour sa part, le ministre de l’Industrie, Mohamed Aly Ag Ibrahim a expliqué que cette œuvre de la SONATAM cadre parfaitement avec la vision du président de la République.
Rappelons que l’année dernière, la SONATAM a procédé à la plantation de plus 200 pieds d’arbres sur le même site en cette même période hivernale. Cette année, 2500 pieds ont été plantés par l’entreprise sur un espace de 15 mm2 pour une valeur estimative de 8 millions de nos francs. Il s’agit du flamboyant, de l’arbre à étage, du henné et de l’eucalyptus. Le site a été clôturé avec des fils barbelés et avec de haie vive.
Moussa Dagnoko
Source :Le Républicain