Depuis sa nomination au poste de ministre des transports et du désenclavement, Moulaye Ahmed Boubacar, a fait de la communication utile son cheval de bataille. Etablir un contact permanent avec les acteurs de son département, échanger sur les défis et envisager les meilleurs moyens de gestion collégiale des difficultés en conformité avec la vision du Président de la République Ibrahim Boubacar Kéita. Tel a été la stratégie mise en place par le ministre des transports depuis son arrivée à la tête de son département. Curieusement, alors même que cette stratégie a prouvé son efficacité, certaines personnes certainement de mauvaise foi, en font un véritable crime. Depuis quand, communiquer devient un crime ? Les initiateurs de la maladroite campagne qui vient d’être déclenchée contre lui sont les seuls à trouver la réponse.
En effet, le ministre des Transports et du Désenclavement est devenu ce qu’on peut appeler une victime de sa propre influence. Il fait certainement beaucoup de jaloux à cause de la vision qui incarne son action. Après juste un peu plus de cent (100) jours à la tête du département, les résultats auxquels est parvenu, Moulaye Ahmed BOUBACR, sont des plus élogieux. Entre ciel, terre et mer, il impressionne par son engagement et son dynamisme afin d’honorer le mandat à lui confié par le Président de la République. Il ya juste une semaine, le ministre Moulaye a réussi à extirper une grosse épine des pieds des transporteurs maliens à Dakar. Eux d’ailleurs ne tarissent plus d’éloges à son endroit. A son actif, il faut rappeler le redémarrage du train voyageur avec à la clé, le payement immédiat des arriérés de salaire au profit des cheminots. Aussi à ce jour, les discussions sont très avancées avec les partenaires en vue de doter la société ferroviaire de nouvelles machines et réhabiliter le chemin de fer. Au même moment où nous mettons sous presse une délégation conduite par le Chef de Cabinet Abdoulaye Magassouba séjourne en République Tchèque pour négocier l’arrivée de nouvelles machines au profit du train voyageur. Le même dynamisme est perceptible dans le secteur aérien. Grace au leadership du ministre Moulaye Ahmed BOUBACAR, la dotation de notre pays d’une compagnie aérienne n’est plus qu’une question de mois. La rencontre que le ministre a eue avec les anciens travailleurs d’Air Mali, illustre à bien des égards cette volonté.
Dans le même sillage, en réponse au contexte sécuritaire qui prévaut dans le monde, l’aéroport international Président Modibo Kéita a été doté de matériel de sureté de dernière génération, ce qui lui a prévalu d’être certifié par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI).
On ne perd pas de vue l’agrandissement en cours de la route Kalabankoro – Université de Kabala dans le cadre des activités de l’entretien routier, ainsi que les larges campagnes de sensibilisation sur la courtoisie sur les routes et la remise de milliers de casques et documents de Transport aux étudiants.
L’ouverture de la subdivision des Transports de Kadiolo, le lancement du port sec de Sikasso ou encore l’inauguration de la voie Kirango – Diameranbougou à Markala, viennent s’ajouter à la longue liste des actions concrètes à mettre au crédit du ministre des Transports et du Désenclavement. Aussi la réflexion est déjà engagée en vue de désengorger la ville de Bamako à travers l’aménagement de plusieurs routes secondaires à travers la ville de Bamako.
En tout état de cause la contradiction est grande lorsqu’avec toutes ces actions des gens mal intentionnés se permettent à raconter sans fondement des balivernes sur un ministre aussi dynamique et pragmatique. C’est aussi une contradiction de parler de bon Directeur et Mauvais ministre car une telle métamorphose est difficile à s’opérer en si peu de temps. Il faut plutôt dire bon Directeur et meilleur ministre. C’est donc une insulte au métier de journalisme que de choisir un jour noble comme le 03 mai Journée mondiale de la liberté de Presse pour prendre sa plume et écrire un article aussi diffamatoire.
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Par La Dépêche