La crise burundaise a été qualifiée de « très grave et perturbante » par l’adjoint de Bank Ki Moon chargé des affaires politiques. Le ministre des relations extérieures, Alain Aimé Nyamitwe, a minimisé« Les quelques cas de criminalité qui visent à attirer l’attention de la communauté internationale ». Selon Alain Aimé Nyamitwe, les opérations de désarmement des populations civiles se poursuivent après l’expiration de l’ultimatum du président Nkurunziza.