Ces individus armés « ont fait irruption dans la commune de Seytenga pour s’en prendre aux populations civiles », a indiqué le gouvernement dans un communiqué au lendemain de l’attaque. « À l’étape actuelle, un bilan officiel ne peut être établi au regard de la complexité de la situation », souligne la note. La situation a provoqué un déplacement des populations de cette localité vers la commune de Dori, située à 47 kilomètres.
L’attaque intervient deux jours après celle contre la brigade de gendarmerie de la même localité et a coûté la vie à onze gendarmes.
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