La situation actuelle du Mali est la conséquence logique et inévitable des politiques menées par les «démocrates sincères et convaincus». Ils ont tout pillé et cassé. Il s’agissait de tout détruire, pour tout diviser et enfin dénationaliser l’État. C’est ce qui a été fait et conçu pendant trente (30) ans.
Pour cela, les démocrates ont commencé par une répression syndicale, donc diviser l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM), corrompre et casser l’Association des élèves et étudiants du Mali (AEEM), infiltrer les Organisations non-gouvernementales (ONG), créer d’autres afin d’écouler et de blanchir l’argent. On a mis en place un gouvernement d’union nationale, un gouvernement d’ouverture, de consensus.
Mais rien. Que du gâchis ! Toutes les structures de l’État ont été désétatisées. Il n’y a plus de sociétés d’État ou entreprises d’État au Mali. Conséquences de la privatisation: misère et désolation.
Source : L’Inter de Bamako