Tard, vers 1 h du matin, dans la nuit du lundi au mardi 25 juillet, le chroniqueur Madou a reçu plusieurs balles dans la poitrine.
Il était dans sa voiture lorsqu’il quittait Boulkassoumbougou, en Commune I du District de Bamako, chez un de ses amis.
Au volant de sa voiture, Madou a été pris à partie par un tireur.
Règlement de compte ou acte commandité ? Nul ne le sait encore.
Quelques minutes plus tard, vers 1 heure et demi, Madou a été conduit à l’hôpital du Mali où les médecins ont déclaré que »sa vie est hors de danger ».
Devenu populaire dans ces derniers à travers sa chronique sur facebook, Madou s’est aussi fait d’importants ennemis dont plusieurs de ses compagnons de lutte qui le trouvent » trop prétentieux ».
Si certains écartent le côté du pouvoir pour le fait que Madou avait commencé à changer de camp ou tout au moins à tempérer, plusieurs des témoins pointent la responsabilité des partisans de leaders religieux qui ont, depuis peu, juré de tuer tout celui qui s’en prendra à leurs Maîtres.
À suivre…
Madick Niang