A l’occasion du changement de nom de COLINA à SAHAM, Bikiry Makanguilé, le directeur général de SAHAM nous édifie sur la nouvelle image de la marque, son capital et les perspectives.
Nous avons décidé de changer de nom, simplement parce que SAHAM est un groupe présent dans 23 pays avec des marchés différents, et des noms différents. Le nom que nous portons au Kenya est différent du celui que nous avons en Angola . Egalement en Afrique de l’ouest et centrale nous n’avons pas les mêmes noms. Alors, à un moment, nous avons décidé d’unifier notre marque. Et de doter le groupe d’une marque forte. Ceci dans le but de développer de manière harmonisée nos activités sur tout le périmètre avec le même nom, la même marque. Voila les raisons fondamentales qui poussent le groupe à changer de nom. Toutes les représentations s’appelleront à partir de ce 1 er avril 2014 Saham. Ce qui va nous permettre de créer de synergie entre nous en termes de lisibilité, visibilité et de services rendus aux clients.
SAHAM est aujourd’hui l’actionnaire principal du groupe Colina. Par conséquent, elle est en droit de pouvoir développer ses activités à Colina comme dans les autres filiales. Il faut noter que SAHAM n’est pas seulement actionnaire de Colina, elle est actionnaire principale de la troisième compagnie d’assurance du marché marocain. En fait, Colina n’est qu’une partie des affaires de SAHAM. C’est pourquoi le groupe a décidé d’unifier toutes ses activités sous une racine commune qui est le nom SAHAM
SAHAM avant tout est un groupe d’assurance installé au Maroc, qui a aussi comme dans son capital une société financière internationale, filiale de la banque mondiale. Elle a aussi dans son tour de table un groupe d’investissement qui permet de donner des moyens au groupe SAHAM de financer sa stratégie dans quatre pôles d’ activités. L’assurance est le centre de gravité du groupe SAHAM. Mais au-delà de l’assurance, il y a la santé, le sponsoring, l’immobilier. L’immobilier est l’une des activités importantes du groupe dans les jours à venir, car il répond aux besoins réels de la population dans les pays émergents
Autre presse
