Pour balayer tout d’un revers de la main d’une prétendue signature, l’association appui aux initiatives d’IBK a animé à son siège à Lafiabougou un point de presse.
C’était ce mardi 20 novembre où il a été révélé que le néerlandais Berts Koenders mis dans ses petits souliers par IBK cherche à se venger.
Depuis quelques jours, les Maliens de l’intérieur et de l’extérieur s’inquiètent, s’interrogent sur la question migratoire. A cause d’un communiqué dont l’interprétation prête à confusion. Loin d’être un mal en soi, les Maliennes et les Maliens dans leur différence ont la même vision : l’intérêt du Mali.
En effet, autour du président d’honneur de l’association M. Sékou Fofana, des membres Kader Sow, Alphadi Cissé, Mahamadou Kamissoko, Salif Sidibé, Moussa Ouattara et Mamadou Cissé sont montés au créneau. Ils battent en brèche tous les griefs concernant une quelconque signature. Pour eux, c’est de la pure manipulation contre notre pays et notre peuple. Ils demandent qu’ensemble que l’on se donne la main pour barrer la route aux ennemis de notre pays. Lesquels, conscients des réalisations du président IBK, de son opposition à une quelconque humiliation d’un malien où qu’ils se trouvent tentent de créer l’émoi dans notre pays. “Ils ne le réussiront pas, le peuple du Mali n’est pas dupe. Il comprend et préservera quoi qu’il advienne son intégrité, son unité. Sinon, aucun accord n’a été signé et ne sera jamais signé par le Mali sous IBK.“, s’insurgent les conférenciers.
Pour eux notamment, le président d’honneur Sékou Fofana, IBK clandestin dans les foyers après le coup d’état de 1968, ayant refusé des postes surtout de Secrétariat Général des Nations-Unies ne signera jamais et n’acceptera jamais de signer un document pour l’expulsion de ses compatriotes. Il révèle : “Berts Koenders est un revanchard. Il avait été déjà mis dans ses petits souliers au Mali par IBK pour une injonction dans les affaires internes de notre pays.”, dixit Sékou Fofana.
En tout état de cause, la polémique ne s’estompe pas, malgré le rejet par la majorité de la motion de censure de l’opposition. Cette opposition qui croit dur comme fer que le Mali a été trahi par les gouvernants actuels. Et pour la majorité, l’opposition est allée vite en besogne, 2018 étant encore loin.
B DABO
Source: Zénith Balé