La première opération a enfin été lancée. La force du « G5 Sahel », appelée à appuyer les militaires français de Barkhane et les casques bleus de l’ONU dans la lutte antiterroriste au Sahel, est intervenue le 28 octobre dans une zone en proie à des groupes djihadistes et aux trafics, aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger. L’annonce en a été faite le 2 novembre par la coalition qui comprend, outre ces trois pays, le Tchad et la Mauritanie. Lira la suite sur mediapart.fr
Exploitant les erreurs et les tares des gouvernements locaux, qui concentrent dans les villes richesses, pouvoirs et moyens de défense, au détriment des zones rurales, les djihadistes du Sahel ont repris l’offensive. La réponse, cinq ans après l’intervention française au Mali, peut-elle rester seulement militaire ?