Depuis l’arrivée au pouvoir d’IBK, en 2013, c’est la toute première fois qu’un gros bonnet du régime est inquiété par la justice dans une affaire de détournement de fonds publics. Cela, après six longues années au cours desquelles la corruption, le détournement à la pelle des deniers publics ont fini par mettre le pays tout entier à genou. Est-ce maintenant la fin de l’impunité ou le début d’un processus où des juges et procureurs courageux vont tout simplement faire face à leur mission » de rendre justice au peuple » ? En tout cas, un éventuel retour en arrière est désormais impossible. «Le dialogue national inclusif» en cours devra exiger l’audit de l’ensemble des structures chargées de la gestion des fonds publics et des services de l’assiette.
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Source: l’Indépendant