A Bourem, les impacts des sanctions de la CEDEAO et l’UEMOA se font sentir. Les prix des denrées de première nécessité sont en hausse. L’huile, le riz, le sucre coûtent cher, depuis l’annonce de l’embargo. Les populations demandent aux autorités locales de s’impliquer pour réguler les prix dans les marchés.
Source : STUDIO TAMANI