Centre international de conférence de Bamako (CICB) a abrité la 24 ème Session de l’EID le 10 décembre dernier, sous l’égide du médiateur de la république Baba Hakim Haidara en compagnie du premier ministre Dr Boubou Cisse en plus des membres du gouvernement et des personnes de marques.

À lumière de son exposé luminaire, le médiateur de la république monsieur haidara nous en fait croire que le secrétariat permanent de l’EID a enregistré 465 demandes d’interpellation, contre 454 en 2018 dont 246 a été retenu repartis comme suit : 38 dossiers pour lecture publique et 208 dossiers pour donner aux départements ministériels concernés..
En effet, une croissance contenue de la participation des citoyens aux sessions de l’EID est à remarquer, en conséquent 206 demandes d’interpellation en 2015, passés successivement à 234 en 2016 et 290 en 2017, puis 454 en 2018 et 465 en 2019 dit il qu’Il y’a cinq ans , sur la base des expériences accumulées dans l’organisation des éditions précédentes de l’EID, y compris les observations et les recommandations des différents jurys d’honneur, le médiateur de la république, charge un groupe de réflexion autonome pour examiner les problématiques identifiées comme des questions liées au concept de ce forum, à sa perception par les citoyens, à sa mission d’éducation à la démocratie et à ses mécanismes de fonctionnement.
De cette réflexion sont issues un certains nombre de mesures pratiques dont la mise en oeuvre a pu fortement contribuer à améliorer les résultats attendus. L’EID est un processus qui, dans sa phase finale, se manifeste une fois par an,le 10 décembre de chaque année, mais qui dans sa phase préparatoire, nécessité un long et minutieux travail d’information, de sensibilisation, d’écoute et de traitement pédagogique en a conclut.
Daouda S Ballo
EchosMedias