Détentions extrajudiciaires par l’ANSE ( ex DGSE), découverte de fosses communes, absence d’informations précises sur les efforts engagés en vue d’assurer l’identification, l’analyse médico-légale, le respect et la restitution des dépouilles des personnes disparues, bref les reproches faites à l’État malien par le comité des disparitions forcées de l’ONU lors des travaux de sa vingt-troisième session sont exigeantes d’une réponse claire pour balayer les doutes sur la crédibilité de (…)
SEYDOU KONATÉ
Source: NOUVEL HORIZON