Jeudi 25 octobre 2018, trois journalistes ont été placés en détention préventive pour diffamation, chantage, diffusion de données personnelles, etc. Ces arrestations interviennent suite à la plainte de Anis Rahmani, patron principal du groupe de médias privé algérien, du préfet d’Alger, ainsi que d’un autre homme d’affaires.
Rahmani fait état de la révélation de certains liens qu’il entretiendrait avec des hommes politiques par ces journalistes. L’ONG Reporters sans frontière regrette ces arrestations qui constituent pour elle des violations graves de la liberté de presse. Les trois journalistes pourront passer deux mois à cinq ans en prison.
Fousseni TOGOLA
Source: Le Pays