Au moins, 13 personnes ont trouvé la mort dans des violences survenues avant et après l’élection présidentielle du 11 octobre en Guinée, révèle Amnesty International dans un communiqué reçu vendredi à APA.
‘’Les autres décès enregistrés dans la capitale sont trois personnes tuées par les forces de sécurité. Il s’agit de deux jeunes hommes qui ont reçu des balles dans le dos (et) un autre jeune homme qui a été battu à mort avec des matraques », a expliqué Stephen Cockburn, directeur adjoint du bureau régional d’Amnesty pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Selon François Patuel, chercheur pour Amnesty et membre de la mission d’enquête de l’ONG, en dehors de la capitale, il y a eu des troubles en lien avec la présidentielle à Banankoro (est), Koundara (nord), N’Zérékoré (sud-est), ayant causé au moins sept morts.
‘’Ce bilan, a-t-il dit, porte à 13 au moins le nombre de personnes tuées pendant les périodes pré et postélectorales ».
APA