L’ouverture des travaux était présidée par la représentante du ministère de l’Environnement de l’Assainissement et du Développement durable, Mme Haïdara Fatoumata Kadena. Organisé par l’Agence de l’Environnement et du Développement durable (AEDD), cet atelier a bénéficié de l’appui technique et financier du Programme des Nations Unies pour l’Environnement et au Fonds Mondial pour l’Environnement (PNUE/FEM).
L’objectif visé par cette formation est de renforcer les capacités des acteurs verts, à définir les rôles et responsabilités des Autorités nationales compétentes et du Point focal national du BCH (centre d’échange pour la prévention des risques biotechnologiques).
Et également , la définition et l’identification des procédures et ou des mécanismes pour tous les fournisseurs d’informations leur permettant de fournir et d’alimenter régulièrement les informations au BCH international et national.
Deux jours durant, les participants auront à travailler sur le site du BCH pour parvenir à maîtriser son utilisation et sa gestion.
S’exprimant à ce sujet, le consultant Charles Kouassi a insisté sur l’opportunité de cet atelier qui doit permettre aux participants d’avoir la capacité d’échanger. Aussi, il a souligné l’importance du Projet PNUE-FEM. ; lequel vise à assurer le renforcement durable des capacités pour une participation effective au centre d’échanges pour la prévention des risques biotechnologiques BCH PHASE III.
Quant à Mme Haïdara Fatoumata Kadena, elle a réaffirmé la volonté de son département et du gouvernement d’honorer pleinement ses engagements vis-à-vis de la communauté internationale et du Protocole de Cartagena. Aussi, l’organisation du présent atelier traduit la préoccupation des autorités du Mali de faciliter l’accès aux informations pertinentes à mettre à la disposition du pays et cela à travers une liaison avec le Portail central du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologies.
Mahamane Maïga
Lejecom