Les amis de l’ancien président de la République, Amadou Toumani Touré, regroupés dans le Parti du développement économique et de la solidarité (PDES) ont tenu le vendredi 24 janvier 2014 une réunion de crise à son siège à l’ACI 2000 sous la houlette du vice-président, Amadou Abdoulaye Diallo. La réunion visait à afficher clairement une position vis-à-vis du régime d’Ibrahim Boubacar Kéita.
Ces derniers temps, beaucoup de rumeurs couraient par rapport à une adhésion du PDES à la mouvance présidentielle. Sans oublier que deux de ses trois députés en l’occurrence Modibo Sogoré de Kayes et Ilias Goro de Douentza, ne veulent pas entendre parler d’opposition. On dit même que l’un veut se vendre à la mouvance présidentielle à 20 millions de FCFA alors que l’autre veut être reconnaissant envers le RPM qui aurait favorisé son élection dans sa localité. Seul celui d’Ansongo serait disposé à suivre le parti dans sa ligne de conduite.
A la réunion du vendredi passé, le message a été très clair et très ferme : le PDES va s’assumer dans une opposition républicaine. Donc, pas question de flirter avec un régime qui a déclenché des poursuites contre le mentor du parti, l’ancien chef de l’Etat, Amadou Toumani Touré. Quitte aux deux députés qui rechignent l’opposition de décider de leur avenir.
Mais le message ne s’adressait pas qu’aux deux députés. Il y a aussi des cadres véreux qui craignant des ennuis judiciaires avec le pouvoir IBK tentent d’embarquer le parti dans une autre aventure.
« C’est une véritable révolution qui se prépare au PDES. On va balayer tous ces vieux qui rechignent l’opposition parce que trainant des casseroles, ils craignent de se voir poursuivis par le nouveau régime », nous disait le vendredi matin un cadre influent du parti. Notre interlocuteur avait même fait allusion au 3e vice-président N’diaye Bah accusé de vouloir embarquer le parti dans la mouvance présidentielle par crainte pour son sort judiciaire. Faux, avait rétorqué l’ancien ministre de l’Artisanat et du Tourisme pour qui, il s’agissait de négocier avec les deux députés en question pour ne pas les perdre. Les choses sont désormais claires. A chacun d’en tirer les conséquences.
Les amis de l’ancien président de la République, Amadou Toumani Touré, regroupés dans le Parti du développement économique et de la solidarité (PDES) ont tenu le vendredi 24 janvier 2014 une réunion de crise à son siège à l’ACI 2000 sous la houlette du vice-président, Amadou Abdoulaye Diallo. La réunion visait à afficher clairement une position vis-à-vis du régime d’Ibrahim Boubacar Kéita.
Ces derniers temps, beaucoup de rumeurs couraient par rapport à une adhésion du PDES à la mouvance présidentielle. Sans oublier que deux de ses trois députés en l’occurrence Modibo Sogoré de Kayes et Ilias Goro de Douentza, ne veulent pas entendre parler d’opposition. On dit même que l’un veut se vendre à la mouvance présidentielle à 20 millions de FCFA alors que l’autre veut être reconnaissant envers le RPM qui aurait favorisé son élection dans sa localité. Seul celui d’Ansongo serait disposé à suivre le parti dans sa ligne de conduite.
A la réunion du vendredi passé, le message a été très clair et très ferme : le PDES va s’assumer dans une opposition républicaine. Donc, pas question de flirter avec un régime qui a déclenché des poursuites contre le mentor du parti, l’ancien chef de l’Etat, Amadou Toumani Touré. Quitte aux deux députés qui rechignent l’opposition de décider de leur avenir.
Mais le message ne s’adressait pas qu’aux deux députés. Il y a aussi des cadres véreux qui craignant des ennuis judiciaires avec le pouvoir IBK tentent d’embarquer le parti dans une autre aventure.
« C’est une véritable révolution qui se prépare au PDES. On va balayer tous ces vieux qui rechignent l’opposition parce que trainant des casseroles, ils craignent de se voir poursuivis par le nouveau régime », nous disait le vendredi matin un cadre influent du parti. Notre interlocuteur avait même fait allusion au 3e vice-président N’diaye Bah accusé de vouloir embarquer le parti dans la mouvance présidentielle par crainte pour son sort judiciaire. Faux, avait rétorqué l’ancien ministre de l’Artisanat et du Tourisme pour qui, il s’agissait de négocier avec les deux députés en question pour ne pas les perdre. Les choses sont désormais claires. A chacun d’en tirer les conséquences.