S’il y a un haut responsable qui a encore besoin de passer par la classe de l’éloquence, c’est bien le président du Cnt, le colonel Malick Diaw. Mais pourquoi donc lit-il ses discours de cette façon, comme s’il avait des malaises, avec des phrases hachées, sans aucun respect des principes de diction et d’éloquence ?
La différence était frappante quand ses homologues étrangers, invités par lui-même pour assister à l’ouverture officielle de la session d’avril du Cnt ont pris l parole à tour de rôle. Que le président du Cnt réécoute les enregistrements de ses interventions et il se rendra compte qu’il ne s’agit d’une critique malveillante, mais d’une interpellation pour s’améliorer de côté.
La Rédaction