« Je pense que le pouvoir actuel n’est pas à la hauteur des enjeux et de la gravité de la situation. Il faut ouvrir les yeux », a déclaré le député du Val-de-Marne sur RFI. « Il n’y a pas assez d’actions fortes de la part du pouvoir », a-t-il insisté.
« Nous sommes à 4 semaines d’élections présidentielle (au Mali, NDLR), on ne sait toujours pas si ce scrutin pourra se tenir », a regretté le député de la majorité et « j’ai l’impression qu’il n’y a pas une véritable volonté de tenir ces élections présidentielles de la part du pouvoir malien ».
« C’est très préoccupant, il faut à tout prix qu’il y ait ressaisissement. Je pense que le déplacement du président Emmanuel Macron aujourd’hui (lundi) fera passer des messages allant dans ce sens », a-t-il jugé.
Jean-Jacques Bridey (LREM)
AFP