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Mali: explosion de joie à Bamako après la reprise de Kidal

«Aujourd’hui, nos Forces armées de sécurité se sont emparées de Kidal» avait annoncé le président de la Transition suite à la reprise de cette ville demeurée depuis plus de dix ans sous l’emprise de groupes armés. Les Maliens ne pouvaient que s’en réjouir.

Après onze ans d’occupation de Kidal par les groupes armés terroristes, Kidal est revenue dans le giron malien après quatre jours de combats qui ont opposé les terroristes et l’armée malienne. Les forces armées et de sécurité du Mali sont entrées dans la ville sanctuaire sans exaction.

«Aujourd’hui, nos Forces armées de sécurité se sont emparées de Kidal» avait annoncé le président de la Transition suite à la reprise de cette ville demeurée depuis plus de dix ans sous l’emprise de groupes armés. Les Maliens ne pouvaient que s’en réjouir.

Après onze ans d’occupation de Kidal par les groupes armés terroristes, Kidal est revenue dans le giron malien après quatre jours de combats qui ont opposé les terroristes et l’armée malienne. Les forces armées et de sécurité du Mali sont entrées dans la ville sanctuaire sans exaction.

Bakari Traoré n’est pas le seul à se réjouir de cette bonne nouvelle de la prise de Kidal par les Forces armées maliennes. Moussa Diakité pense aussi que la reconquête de la région de Kidal est le témoignage de la victoire de la nation malienne.

Le 31 octobre 2023, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali avait mis fin à sa présence dans la région de Kidal, suite au départ des derniers membres de son personnel par avion et par convoi terrestre. Le 16 juin, le Mali avait demandé au Conseil de sécurité de l’ONU d’acter le retrait de la Minusma.

Pour sa part, le gouvernement de transition a salué la résilience historique et héroïque du peuple malien, qui a subi stoïquement des épreuves destinées à affaiblir son soutien à la transition. Il s’agit notamment, « des sanctions illégales, illégitimes et inhumaines décidées par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) » et « l’instrumentalisation » de l’inflation qui a touché les produits alimentaires à des « fins politiques ».

Par Diemba Moussa Konaté (Bamako, correspondance)
le360.ma
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