Le président IBK, élu en 2013 à la tête de l’Etat avec 77% des voix avait, dans son adresse à la nation, à l’occasion du nouvel An 2014, décrété ladite année » celle de la lutte contre la corruption « .
A sa suite, c’est le président du RPM et président de la Convention des partis de la Majorité présidentielle (CMP), Dr Boulkassoum Haïdara, connu pour son franc-parler, qui avait tiré la sonnette d’alarme, en demandant publiquement au nouveau locataire de Koulouba » d’écarter systématiquement tous ceux qui sont trempés de loin ou de près dans ces lugubres affaires de malversations en attendant que la justice prononce son verdict « .Manque criard de volonté politique ? Quand on sait que d’ATT à IBK, aucun des 14 rapports annuels du Bureau du Vérificateur Général (BVG) n’a fait l’objet d’un véritable traitement de la part de la justice malienne. La récente sortie du diplomate allemand SEM, Dietrich Becker, va-t-elle changer quelque chose au comportement des autorités maliennes vis-à-vis de la lutte contre ces fléaux ?
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Source: l’Indépendant