Diarrassouba où la cheville ouvrière du développement endogène
En effet, tout au long de son quinquennat finissant, l’honorable Mamadou Diarrassouba n’a jamais été indifférent à la souffrance des populations de sa localité. Par son implication directe ou indirecte, plusieurs communes de Dioïla ont bénéficié de logements sociaux, de Cscom, de kits solaires, scolaires et de sonorisations,
100 logements sociaux gratuits : une première dans l’histoire du Mali
En partenariat avec l’ONG Al Farouk, l’élu de Dioïla a construit 100 logements sociaux Fana, qu’il a offerts gratuitement aux plus démunis. Par cet acte, il aura contribué à la lutte contre la pauvreté en facilitant l’accès des populations à des logements décents. A Fana, ce projet relève du miracle, apprend-t-on. En effet, explique Sidi Mohamed Traoré, agent de la Cmdt « aucun élu n’a initié un tel projet dans le cercle de Dioïla de l’indépendance à nos jours, dans notre pays…c’est une première dans notre pays que des logements soient construits et proposés à être gratuitement distribués aux populations »
Mamadou Diarrassouba, un député pas comme les autres
A la différence de nombreux élus, accusés à tort ou à raison de tourner le dos à la base une fois les joutes électorales finies, Mamadou Diarrassouba est resté en contact avec son terroir avec lequel il partage toutes les initiatives de développement local. La réussite étant au bout de l’effort, dit-on, il est porté aujourd’hui par les efforts qu’il a déployés depuis fort longtemps au bénéfice des populations. Il n’est pas exagéré de dire que le progrès économique de la contrée de Baniko repose en grande partie sur les efforts et convictions du député Diarrassouba.
En effet, depuis son élection en 2013 pour un 3ème mandat, l’homme n’a eu de cesse de multiplier les initiatives pour attirer les partenaires au développement vers sa localité, en vue de changer le quotidien des siens. Son engagement finira par porter ses fruits par la réalisation de nombreuses infrastructures socioéconomiques de base.
A N’Golobougou, Diarrassouba et ses partenaires ont installé un kit solaire dans le Cscom où les femmes accouchaient dans le noir depuis sa création en 1991. A Togo, le gouvernement a répondu à la sollicitation des populations, transmise par Mamadou Diarrassouba, en réalisant un Cscom entièrement équipé et doté de personnel qualifié ainsi que d’une adduction d’eau. Il a également doté Sanankoro-Kouloubadougou en Cscom d’un kit solaire et le Cscom de Séribila d’une ambulance et d’une salle d’hospitalisation. A Séribila, en plus d’une contribution financière, le député a contribué à l’équipement de la mosquée en matériel de sonorisation et de kit solaire. Son village natale Massigui, a été doté également de Cscom, de kit solaire et d’adduction d’eau. Pour Dioïla, le chef-lieu de la région, l’engagement de Mamadou Diarrassouba a permis d’équiper le Centre de santé de référence (CSRéf) en groupe électrogène et machine de radiographie estimé à plus de 130 millions. Dans le domaine du culte, El Hadj Mamadou Diarrassouba a construit plus d’une dizaine de mosquée dans la région de Dioïla.
Des projets d’envergures en perspectives
D’autres Cscom sont en cours de réalisation dans le cercle, dont ceux de Tiontala et de Baba, tandis que le département de la Santé a décidé de construire un Centre de référence à Massigui. Le site ayant été identifié, les travaux ne sauront plus tarder, selon les confidences d’un cadre du ministère en question. Au-delà de ses nombreuses réalisations, le député estime que « la principale préoccupation des populations du cercle de Dioïla reste aujourd’hui le bitumage d’un certain nombre de voies, notamment l’axe Dioïla-Massigui-Koualé, long de 140 km. » et s’engage auprès de la population pour la réalisation de ce vœu.
Correspondance particulière
Source temoin