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Le sucre : de plus en plus rare et cher

A 38 000 FCFA le sac de 50 kg, le sucre devient amer sur la langue. Malgré sa consommation élevée au Mali, particulièrement dans les villes, le sucre devient une denrée de plus en plus chère et rare. C’est ce constat qu’on peut faire un peu partout dans les quartiers de Bamako. Dans certains endroits de la capitale, le kilo est vendu à 750 FCFA, voire 800 FCFA. Hors de Bamako, on apprend qu’il faut 1000 FCFA, notamment dans certains villages pour se procurer 1 kg de sucre. Outre cette flambée, il n’est pas surprenant de voir des dizaines de boutiques manquer de sucre. Si certaines de ces boutiques ont des difficultés d’approvisionnement, d’autres ont préféré s’en passer compte tenu du prix exorbitant. Le hic, c’est que les 50kg indiqués sur le sac ne sont pas souvent exacts. Cela constitue un manque à gagner pour les revendeurs.

 

Revoici les bateaux sur le Niger ! 

Depuis le vendredi dernier, les bateaux de la Compagnie Malienne de Navigation (COMANAV) sont opérationnels sur le tronçon Koulikoro-Mopti-Gao. C’est au regard de l’évolution satisfaisante du niveau d’eau du fleuve Niger que la campagne de navigation 2022 -2023 a démarré par le départ du bateau Modibo Kéita de Mopti à Kabara. Le démarrage a fait l’objet d’une communication du ministre des Transports et des Infrastructures au conseil des ministres du mercredi 28 juillet 2022. La COMANAV contribuera, selon le ministre, à l’approvisionnement des zones enclavées tout en assurant l’intégration sociale et économique des populations riveraines du fleuve Niger en dépit de la situation sécuritaire.

DEF : 20,81% de moins qu’en 2021

Les résultats obtenus cette année, au Diplôme d’Etudes Fondamentales(DEF) se présentent comme suit : candidats inscrits : 223 244, présents : 209705 admis : 100 374, soit un taux  de réussite de 47,86%, et 20,81% de moins que la session de l’année 2021. Les taux de réussite filles et garçons sont respectivement de 47,39% et 48,31%. Malgré le déroulement normal de l’année scolaire 2021-2022, ces taux n’ont pas atteints ceux de la dernière session. C’est ce qui ressort de la communication de la ministre de l’éducation nationale lors du conseil des ministres du 28 juillet 2022.

Source : Le Challenger

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