Depuis une dizaine d’années les violences, souvent mortelles, se sont érigées en principe dans l’espace universitaire. La dernière en date, qui a suscité l’indignation publique, est celle intervenue, le lundi 12 octobre, sur la colline de Badalabougou à l’Institut Universitaire et de Gestion (IUG) ayant enregistré un mort et des blessés graves.
Beaucoup d’acteurs de l’enseignement supérieur considèrent que ces affrontements périodiques sanglants entre étudiants, à coups de machettes, d’armes à feu de fabrication artisanale ou étrangère, sont liés principalement à la gestion dévolue par l’Etat à l’AEEM de l’espace universitaire. Enjeu : une manne de plusieurs centaines de millions de nos francs.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant