C’est une affaire particulièrement sordide qui a été jugée cette semaine devant la Cour d’Assises d’Epinal.
Entre le 1er janvier 2011 et le 14 janvier 2016, un homme, âgé de 75 ans, a violé sa fille, handicapée mentale, dans leur maison de Moyenmoutier, dans les Vosges.
Durant le procès, l’accusé a nié en bloc et, ce, malgré son ADN retrouvé à côté du lit de la victime, âgée aujourd’hui de 52 ans.
Il y a aussi le témoignage de l’ex-petite-amie de l’un des fils du septuagénaire. Cette dernière a expliqué avoir assisté aux ébats entre la victime et son compagnon aux côtés de l’accusé.
« Tout s’est passé sur la table de la cuisine » a-t-elle déclaré.
Une autre de ses filles, âgée aujourd’hui de 22 ans, a déclaré avoir été violée par son père à l’âge de 14 ans et, ce, durant un an.
Un jeune homme a raconté à la barre qu’il avait été drogué et contraint par l’accusé d’avoir des relations sexuelles avec la victime.
Le septuagénaire a été condamné mercredi soir à 16 ans de réclusion criminelle.
Source: faitsdivers