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François Hollande annonce son retour en politique

    1. L’ancien président français annonce son retour en politique au cours d’une séance de dédicaces de son livre “Les leçons du pouvoir”, ce week-end.

      Il s’est exprimé face à la caméra de l’émission “Quotidien”.

      François Hollande discute avec une femme.

      François Hollande: “Donald Trump ne respecte rien”

      “On vous regrette beaucoup”, lui dit la dame.

      “Moi aussi, je vous regrette beaucoup”, répond l’ancien président.

      L’admiratrice venue se faire dédicacer son dernier ouvrage, “Les leçons du pouvoir”, espère son retour, elle lui demande s’il s’est “retiré de la vie politique intégralemen”».

      Ce à quoi François Hollande répond : “Non ! Je vais revenir”.

      L’homme s’est enfui emportant le mammifère dans le métro parisien mardi matin.

      Le voleur présumé a d’abord essayé de voler deux chèvres, chargées d’entretenir des pelouses du jardin des Tuileries, près du musée du Louvre à Paris a indiqué une personne chargée de la surveillance du jardin.

      Empêché par des agents, il n’est parvenu à emmener qu’un seul des caprins.

      Il a alors emprunté une ligne de métro qui dessert de nombreux sites touristiques de la capitale.

      ” Des agents ont repéré un individu avec une chèvre à la station Tuileries”, a confirmé la compagnie des transports parisiens RATP.

      Devant l’attitude de l’homme “menaçant, agressif, et qui refusait de sortir du wagon”, la RATP a interrompu le trafic “pour permettre l’intervention de la police”.

      “La chèvre a ensuite été prise en charge par des agents des jardins des Tuileries et la personne interpellée”, précise la régie de transports.

  1. Un diamant rose vendu à 50 millions de dollars

    Pink Legacy, pesant un peu moins de 19 carats, a été acheté aux enchères par la marque américaine Harry Winston dans la ville suisse de Genève.

    La pierre de forme rectangulaire a été trouvée dans une mine sud-africaine il y a environ 100 ans et n’a probablement pas été altérée depuis sa découverte en 1920, selon la maison de vente aux enchères Christie’s.

    Trouver un diamant rose vif de plus de 10 carats est pratiquement impossible, selon la maison de vente aux enchères.

    Le prix d’environ 2,6 millions de dollars le carat a marqué un record mondial pour un diamant rose, selon Christie’s en Europe.

    Il avait été évalué entre 30 et 50 millions de dollars avant la vente et a été acheté après seulement cinq minutes d’enchères.

    1. L’armée éthiopienne a “transporté des armes en Somalie”

      Le conglomérat militaire éthiopien Metals and Engineering Corporation (METEC) est sous le feu des projecteurs dans le pays de la Corne de l’Afrique après qu’un documentaire télévisé a révélé que l’entreprise était impliquée dans le commerce illicite d’armes.

      L’information a été diffusée par la télévision publique ETV et relayé par d’autres médias affiliés au gouvernement quelques heures seulement après l’arrestation de l’ancien chef de l’entreprise, le général de division Kinfe Dagnew, alors qu’il tentait de fuir au Soudan voisin.

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      Le document suggère, entre autres, que METEC a participé au transport d’armes vers la Somalie. Suleiman Dedefo, ancien ambassadeur d’Éthiopie à Djibouti, a déclaré dans le programme télé qu’en 2016, METEC aurait acheté deux vieux navires à Ethiopian Shipping Lines pour les démolir et les utiliser comme ferraille.

      L’entreprise les a au contraire rénovés et utilisés pour transporter des armes et d’autres marchandises de contrebande entre l’Iran et la Somalie.

      Il a dit qu’il avait écrit des lettres à plusieurs institutions gouvernementales, dont le Ministère éthiopien des affaires étrangères, au sujet de ces allégations, mais qu’il n’avait reçu aucune réponse. Sa lettre circule sur les médias sociaux.

      Lundi, le procureur général d’Éthiopie, Berhanu Tsegaye, a annoncé qu’une vaste affaire de corruption avait été dévoilée à METEC après cinq mois d’enquête.

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      Il a déclaré que METEC avait effectué des achats à l’étranger, pour un montant total de 2 milliards de dollars US, sans aucune procédure d’appel d’offres.

      En conséquence, 27 fonctionnaires de la société sont maintenant en état d’arrestation, a-t-il ajouté. Ni le Général de division Kinfe ni les responsables de METEC n’ont commenté les allégations.

      Ces arrestations constituent la plus importante mesure de répression anti-corruption en Éthiopie, qui est désormais au rythme des réformes massives depuis l’arrivée au pouvoir du Premier ministre Abiy Ahmed il y a sept mois.

      En août, M. Abiy a confié à METEC la construction du Grand barrage Renaissance en Éthiopie – un projet d’infrastructure de grande envergure pour endiguer le Nil – et l’a confié à des entreprises étrangères.

      Les filles de l’État nigérian de Lagos sont désormais autorisées à porter un hijab à l’école, ont déclaré les autorités.

      Le foulard musulman est au centre d’une polémique dans l’État depuis 2014, date à laquelle un tribunal supérieur de Lagos l’a interdit dans les écoles.

      La décision a été annulée en appel deux ans plus tard, mais l’État a ensuite porté l’affaire devant la Cour suprême et n’a pas levé l’interdiction dans les écoles, selon le Daily Trust.

      Dans une circulaire, le gouvernement de l’État a déclaré qu’il autoriserait désormais les filles à porter des hijabs en attendant la décision de la Cour suprême.

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      Elle stipule que le hijbab d’un élève devait être “court, intelligent, soigné et de la même couleur que l’uniforme”.

      “Aucun élève ne devrait faire l’objet d’une discrimination fondée sur la religion, sous quelque forme que ce soit “, ajoute la note.

      Saheed Ashafa, de la Muslim Students’ Society of Nigeria (MSSN) dans l’État de Lagos, s’est félicité de cette décision, rapporte le journal Vanguard.

      Il a condamné “la manière embarrassante dont les membres de sa communauté sont victimes, harcelés, punis et empêchés d’entrer dans leurs salles de classe pour avoir porté le Hijab”.

      Cette décision intervient quelques jours après qu’une école dans l’État voisin d’Oyo a refusé aux élèves d’entrer dans l’enceinte de l’école en portant le hijab.

      Cette décision a déclenché des protestations de la part des parents qui ont conduit à la fermeture de l’école internationale de l’Université d’Ibadan.

      La population nigériane est partagée plutôt équitablement entre musulmans et chrétiens. La majorité des musulmans vivent dans le nord et les chrétiens principalement dans le sud – bien que Lagos ait une population religieusement mixte.

    2. L’opposition tchadienne dénonce le report des législatives

      Au Tchad, l’opposition rejette le report des élections législatives.

      Ce scrutin était prévu pour ce mois de novembre.

      Il pourrait plutôt se tenir en 2019 pour des raisons financières évoquées par les autorités.

      Annoncées pour novembre 2018 par le président Idriss Deby, fin décembre 2017, le parti au pouvoir, viens de reporter ces élections pour 2019 pour des raisons financières.

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      “Le Tchad n’a pas d’argent et ne peut organiser les législatives prévues ce mois. Ce n’est pas de la mauvaise foi. L’Assemblée nationale a adopté le texte portant création de la Céni. C’est cela qui va permettre l’organisation d’une élection législative crédible”, a déclaré le Dr Mahamat Ibni Bichara, député de la majorité présidentielle à l’Assemblée Nationale.

      Pour les députés de l’opposition, c’est un refus du parti au pouvoir d’organiser les législatives.

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      “Le parti au pouvoir manœuvre pour que les élections ne se tiennent pas. Le gouvernement aurait pu coupler la présidentielle et les législatives mais il ne l’a pas fait”, a soutenu Ildjima Abdraman, deputé de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Renouveau, le parti du principal opposant tchadien Saleh Kebzabo.

      Les législatives sont reportées jusqu’en 2019 mais aucune date n’a été communiquée.

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      Les législatives devraient couter 70 milliards de FCFA.

      Contacté, un inspecteur du ministère des Finances a fait savoir à la BBC que leTchad ne dispose pas de cet argent.

    3. L’ONU va lever les sanctions contre l’Érythrée

      Le Conseil de sécurité va se réunir mercredi après-midi pour voter une résolution visant à lever les sanctions contre l’Érythrée.

      Ces sanctions ont été imposées en 2009, en raison du soutien présumé du pays aux insurgés islamistes en Somalie.

      Les relations tendues entre les deux pays se sont considérablement améliorées ces derniers mois et font suite à la signature historique d’un accord de paix entre l’Érythrée et l’Éthiopie en juin.

      Le vote de ce mercredi au Conseil de sécurité de l’ONU marque un changement capital dans la situation de l’Érythrée, longtemps considérée comme l’un des pays les plus fermés du continent.

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      Depuis près d’une décennie, ce pays fait l’objet d’un embargo sur les armes décrété par les Nations unies ainsi que l’interdiction de voyager pour certains de ses dirigeants et le gel de leurs avoirs .

      Asmara est accusé pour son rôle présumé dans le financement des militants Al Shabab en Somalie.

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      Le gouvernement érythréen a toujours nié ces accusations.

      Selon des sources onusiennes, la résolution, rédigée par la Grande-Bretagne, devrait être adoptée à l’unanimité et bénéficie du soutien crucial des États-Unis et de leurs alliés occidentaux.

      L’économie de l’Érythrée a été fortement minée par des années de sanctions.

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      Le gouvernement érythréen affirme vouloir être indemnisé pour les mesures punitives qu’il qualifie d’injustifiées et politiquement motivées.

      Les détracteurs affirment cependant que le pays n’a pas fait grand-chose pour lutter contre les violations des droits de l’homme commises de l’intérieur et, en particulier, contre certaines mesures qui ont conduit des dizaines de milliers de jeunes Érythréens à fuir le pays pour l’Europe.

    4. Appel à la lutte contre la méningite en Afrique

      Image caption: La méningite en Afrique être combattue par la vaccination

      Les gouvernements africains sont instamment priés de faire davantage pour contrôler la méningite, en particulier dans la région qui s’étend du Sénégal à l’ouest à l’Ethiopie à l’est.

      Un article publié dans la revue médicale Lancet Neurology a révélé que, bien que des progrès significatifs aient été réalisés dans le contrôle de la maladie dans le monde entier, les pays de la “ceinture de la méningite” en Afrique subsaharienne étaient à la traîne.

      L’année dernière, quelque 18.000 cas ont été signalés au Nigeria et au Niger. Cette maladie contagieuse, qui peut causer des lésions cérébrales, la cécité et la surdité, peut être combattue par la vaccination.

      La Fondation de recherche sur la méningite propose la mise au point de vaccins moins coûteux et à plus grande échelle et la réduction du coût des tests diagnostiques et des traitements.

      Friture sur la ligne Trump-Macron

      La romance entre Donald Trump et Emmanuel Macron touche-t-elle à sa fin ? Dans une série de tweets, le président américain s’en est pris au président français dont il critique la proposition d’armée européenne.

      L’idée du président français de créer une “véritable armée européenne” pour se protéger de la Chine, de la Russie et même des Etats-Unis ne cesse de susciter la colère de Donald Trump.

      A peine rentré de Paris, où il était l’hôte d’Emmanuel Macron pour le centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale, le président américain s’est vivement attaqué mardi matin à la France et à son président dans une série de tweets.

      Le chef de l’Etat américain s’est moqué de la “très faible cote de popularité” du jeune président français et son mauvais bilan sur le front du chômage.

      Il a ironisé sur l’occupation du pays par l’Allemagne pendant la deuxième guerre mondiale et a également critiqué les barrières commerciales du pays contre le vin américain.

      “MAKE FRANCE GREAT AGAIN”, “Rendez à la France sa grandeur” a-t-il également tweeté, imitant son slogan de campagne.

      Il avait déjà jugé ce week-end les propos d’Emmanuel Macron “très insultants”. La chancelière allemande Angela Merkel a apporté son soutien au président français, en prônant à son tour devant le parlement européen la création d'”une armée européenne”.

      La création de cette force militaire inquiète Donald Trump mais aussi l’Otan et son secrétaire général, qui craint un affaiblissement de l’Alliance atlantique.

      Emmanuel Macron est le dernier chef d’Etat occidental à essuyer les foudres de Donald Trump après Angela Merkel, ou les premiers ministres britanniques et canadiens Theresa May ou Justin Trudeau.

    5. StarTimes dans le collimateur d’Excaf au Sénégal

      Le groupe audiovisuel local Excaf conteste la validité du contrat de diffusion signé entre la Ligue sénégalaise de football professionnel et le groupe chinois de distribution de chaînes de télévision satellitaires StarTimes.

      L’opérateur chinois de distribution de chaînes de télévision satellitaires a acquis début novembre les droits de diffusion du championnat sénégalais de football de première et seconde division.

      A partir de la saison 2018-2019 et pour une durée de 10 ans, StarTimes devrait diffuser par satellite deux matches chaque journée de championnat, soit 52 matchs par saison, avec des rediffusions et un magazine après chaque journée.

      La société chinoise va verser en échange plus de 6 milliards de FCFA à la Ligue sénégalaise de football professionnel pour accompagner les clubs sénégalais.

      Le contrat de sponsoring ne pose pas problème, cependant StarTimes n’aurait pas respecté l’obligation faite dans la loi sénégalaise à tout investisseur dans l’audiovisuel, de “créer une société de droit sénégalais dont 51% des parts sont détenus par des Sénégalais.

      Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel sénégalais a enjoint StarTimes à se mettre en règle avec la législation du pays.

      Le général Haftar boude les pourparlers de Palerme sur la Libye

      Les deux dirigeants rivaux de la Libye se sont rencontrés lors d’une conférence dans la ville sicilienne de Palerme.

      La rencontre entre le Premier ministre du gouvernement soutenu par l’ONU, Fayez al Sarraj, et le général Khalifa Haiftar – qui contrôle la partie orientale du pays – était la première depuis mai.

      Plus tôt ce mois, l’envoyé de l’ONU a suggéré la tenue d’une conférence nationale suivie d’élection au printemps prochain – dans le but de créer un gouvernement national unique en Libye.

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      Les dirigeants rivaux de la Libye ont été photographiés en train de se serrer la main – apparemment de façon cordiale – lors d’une réunion en marge de cette conférence.

      Fayez al Serraj – qui dirige l’administration soutenue par l’ONU à Tripoli – s’est ensuite joint aux autres invités de la conférence pour les discussions officielles et la photo finale.

      En revanche, le général Khalifa Haftar – dont les forces contrôlent l’est de la Libye – a insisté sur le fait qu’il ne participerait pas à ce sommet.

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      Au lieu de cela, il a créé son propre centre de gravité en assistant à des réunions non officielles.

      Il n’est pas tout de suite clair si la rencontre entre les deux hommes favorisera ou non un processus de réconciliation en Libye ou dans l’ensemble de la région.

      La délégation turque est partie en disant qu’elle était profondément déçue d’être exclue de certaines des réunions cruciales à Palerme.

      Aboutrika condamné pour fraude fiscale

      Image caption: Aboutrika condamnée pour fraude fiscale

      Un tribunal égyptien a condamné Mohamed Aboutrika, l’une des légendes du football égyptien, à un an de prison pour évasion fiscale avec possibilité de payer une amende de 20.000 livres égyptiennes (1.100 $) pour faire suspendre sa peine.

      Aboutrika, qui vit en exil au Qatar depuis 2013, n’était pas au tribunal lundi pour le verdict, rapporte l’agence Associated Press.

      Le tribunal a déclaré qu’Aboutrika n’avait pas payé 39.500 $ d’impôts sur ses revenus provenant de contrat publicitaires avec des entreprises de boissons gazeuses et de télécommunications en 2008 et 2009.

      L’armée zimbabwéenne rejette les meurtres commis après les élections

      L’armée zimbabwéenne a déclaré à une commission d’enquête que ses soldats n’avaient pas tué de civils lors des manifestations dans la capitale, Harare après le scrutin controversé du 30 juillet.

      Six personnes ont été tuées par balles et plus d’une douzaine d’autres ont été blessées à la suite des premières élections qui ont eu lieu depuis l’éviction de Robert Mugabe de la présidence après trois décennies au pouvoir.

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      Les partisans du leader de l’opposition, Nelson Chamisa, se sont heurtés aux forces de sécurité dans les rues de la capitale après avoir affirmé que le parti au pouvoir, la Zanu-PF, avait remporté les élections en organisant une fraude à grande échelle.

      Une commission d’enquête indépendante de sept membres – créée en août et dirigée par l’ancien président sud-africain Kgalema Motlanthe – a entendu des témoignages pour tenter d’établir qui était responsable de la mort des six individus lors des manifestation de l’opposition.

      La commission est censée terminer ses travaux en trois mois.

      A lire aussi : Des violences post-électorales éclatent au Zimbabwe

      Le gouvernement a déclaré qu’aucun ordre n’avait été donné de tirer sur des civils le 1er août et que les victimes, dont certaines avaient reçu une balle dans le dos, auraient pu être tuées par des propriétaires de magasins ou commerces armés ou même par des militants de l’opposition.

      Les images vidéo semblent suggérer le contraire. Le témoignage de l’armée a suscité des rires occasionnels et incrédules de la part de l’auditoire à la commission d’enquête.

      L’opposition affirme que l’enquête est une tentative du président Emmerson Mnangangangwa d’échapper à ses responsabilités lors de ces évènements.

      Trois civils tués ans une attaque au Mali

      Au moins trois civils maliens ont été tués et quatre étrangers travaillant pour un sous-traitant de l’ONU spécialisé dans le déminage blessés.

      Ce bilan est celui de l’attentat suicide de lundi à Gao, dans le nord du Mali. L’attaque a été revendiquée par un groupe affilié à Al-Qaïda relaie l’Agence France Presse.

      “Un chevalier du GSIM, le héros martyr Oussama Al-Ansary, a pu grâce à Allah cibler il y a quelques instants à 19h15 GMT les forces des envahisseurs croisés en faisant exploser son véhicule piégé dans un site regroupant des forces britanniques, allemandes et canadiennes dans le centre-ville de Gao”, indique le texte diffusé par Al-Qaïda dans la soirée.

      “Vers 20 heures (GMT), un véhicule 4×4 piégé a fait irruption dans la cour d’une résidence au 8ème quartier de Gao sur la route Wabaria. L’explosion de la charge contenue dans le ledit véhicule a coûté la vie à trois civils, blessant deux autres, selon un bilan provisoire”, indique dans un communiqué le ministère de la Sécurité et de la Protection civile.

      “La déflagration a également endommagé les habitations avoisinantes”, ajoute le ministère, en assurant que les forces de défense et de sécurité, appuyées par les forces partenaires (internationales) sur le terrain, sont “à pied-d’œuvre pour la gestion de ce malheureux incident”

    6. Ces officiers issus de l’armée et des services de renseignement sont accusés de corruption et de violation des droits de l’homme.

      Les arrestations de membres de l’appareil de sécurité sont rares et représentent une nouvelle inflexion de la politique éthiopienne par le Premier ministre Abiy Ahmed, qui veut rompre avec le passé autoritaire du pays.

      “Vingt-sept responsables ont été arrêtés pour corruption présumée, tandis que 36 ont été écroués pour violations présumées des droits de l’homme”, déclare Berhanu Tsegaye, le procureur général d’Ethiopie au cours d’une conférence de presse.

      Il ajoute qu’une chasse à l’homme est en cours pour retrouver les suspects restants.Le procureur général n’a pas précisé l’identité des suspects mais il a indiqué que certains avaient déjà comparu devant la justice.

      Les faits de corruption présumés ont eu lieu à la Metals and Engineering Corporation (METEC), une entreprise dirigée par l’armée, a-t-il souligné.

      Selon le procureur général, des responsables de METEC ont été impliqués dans l’achat de biens pour un montant de deux milliards de dollars, sans aucun appel d’offre.

      Le premier ministre Abiy Ahmed avait publiquement admis plus tôt cette année que des responsables de la sécurité avaient en toute impunité commis des actes de torture et des violations des droits de l’homme.

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