Sept mois seulement après sa nomination en qualité de Procureur général près la Cour suprême, Boya Dembélé a fini par être emporté par la vague de contestations dont il faisait l’objet. Dans le décret daté du 18 février 2021 portant sa révocation, il lui est reproché » la rétention injustifiée de dossiers » provoquant du coup un « disfonctionnement grave » ayant impacté le bon fonctionnement de la Cour suprême.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant