Dans le cadre du dialogue républicain et soucieux d’écoute et de concertations permanentes sur les grandes questions de la Nation, le Premier ministre, Soumeylou Boubeye MAIGA, a a initié une série de rencontres le conduisant au siège des APM où il a été reçu par son président Mohamed Ali BATHILY. Dans le mépris le plus absolu de la tradition de courtoisie caractéristique de notre peuple, BATHILY s’est laissé aller, dans réquisitoire nourri à la sève de la haine et de la frustration, à multiplier les affronts envers le Chef de l’Exécutif. Les internautes n’ont pas été tendres avec cet ancien ministre de IBK. Votre Facebookan du jour !
Bijou DICKO :
« Les trente deniers de Judas »
« Quand on est dans la merde jusqu’au cou, il ne vous reste qu’à chanter », disait Becket!
Cette citation sied à merveille à Monsieur Mohamed Ali Bathily qui vient de franchir encore une fois le Rubicon de la bêtise et de la fourberie humaine. En plus d’être un piètre politicien sans envergure aucune, Me Bathily vient d’étaler sur la place publique que l’habitude du pouvoir est malsaine et rester loin des caisses et des domaines de l’Etat lui est insupportable.
Me Bathily ce laudateur du Président IBK pendant des années est subitement devenu son pire contradicteur et on peut dire, à juste titre, qu’il est son ennemi public numéro un.
Mais pour qui connaît Me Bathily, cela n’est pas surprenant, bien au contraire! Le cas de sa relation tumultueuse avec l’ancien Président le Général Amadou Toumani TOURÉ est un exemple patent de la traitrise de l’ancien ambassadeur du Mali au Sénégal.
Mohamed Ali Bathily était un inconditionnel du PR TOURÉ dans les années 90 et il lui était dévoué comme le serait un vassal envers le suzerain. Il doit à ATT d’être un personnage public de premier plan.
C’est en effet l’ancien président de la République, alors qu’il présidait le Comité de transition pour le salut public (CTSP) institué après la chute de Moussa TRAORE (mars 1991 – juin 1992) qui l’a sorti de l’anonymat pour faire de lui son directeur de Cabinet. Pétri de zèle, Bathily arrivait au bureau à 6h et ne décrochait jamais avant 22h. C’est cet excès de zèle qui l’amena à déclarer une journée fériée qui n’en était pas une. Et patatras !!! Ce scandale secoua terriblement la République et ATT n’eut d’autre choix que de se débarrasser de lui. Démolition man (qui ne se rappelle pas du champ de ruines et de gravas avec la démolition de plusieurs dizaines de maisons qui transforma Moribabougou en Gaza) cuva sa colère et développa une haine morbide contre son bienfaiteur et mentor. Nonobstant cela, le même ATT le nommera Ambassadeur du Mali au Sénégal. Pour des raisons mystérieuses, Mohamed Ali Bathily abandonna purement et simplement son poste d’ambassadeur pour s’installer dans un cocon douillet à Paris.
Revenu aux affaires en 2002 après s’être fait élire démocratiquement, ATT proposera quelques années plus tard à son cadet Bathily, qu’il portait en haute estime, de le nommer président de la Cour constitutionnelle. Offre que l’intéressé déclinera en arguant qu’il avait entrepris une formation pour devenir avocat dans un Cabinet de la place. En fait il lorgnait sur le Poste de VEGAL, mais pour cela il fallait passer par un concours. Mohamed Ali Bathily fit le concours et implora ATT de le choisir quel que soit le résultat de l’examen.
Ce dernier lui opposa une fin de non-recevoir et lui signifia clairement que le meilleur à l‘issue du concours sera pris comme Vérificateur Général. Sidi Sosso DIARRA l’emporta haut la main et plus de 100 points séparaient les deux hommes. Ce fut la goutte d’eau de trop et l’homme jura d’avoir la peau d’ATT. C’est ce même Mohamed Bathily en tant que Garde des Sceaux qui a inspiré et, dit-on, rédigé de sa propre main le dossier de mise en accusation d’ATT pour «haute trahison » devant la Haute Cour de Justice. Dieu merci le PR IBK, au nom de la réconciliation nationale, fit revenir son Petit Frère dans les conditions de dignité que nous savons. Quant à sa relation avec le PR IBK, ce dernier a toujours été fidèle à ses engagements et pendant 4 ans et demi son violoncelliste préféré joua à merveille ses partitions. Il n’a pas poussé la chansonnette, mais nous nous rappelons de ses envolées lyriques où il racontait que le Mali n’existait pas avant 2013, que le PR IBK était le Messie qui a redonné aux Maliens leur fierté et leur honneur. Pas une semaine ne passait ou Démolition Man ne traitait pas les membres de l’Opposition d’apatrides et d’ennemis de la Nation.
Éjecté du Gouvernement pour fautes graves que nous tairons ici, voilà le nouveau Bathily qui monte dans le manège du délire et de la délation et à l’indignité s’ajouta la bêtise, à la faute morale s’ajouta la faute politique. « Les ennemis de l’état » sont aujourd’hui ses partenaires et comme atteint de folie furieuse, le violoncelliste de 2013 est devenu le batteur de l’opposition et son dernier concert illustre bien la colère, l’amertume et la haine qui sont ses nouvelles compagnes.
L’excitation paradoxalement servile et irrespectueuse avec laquelle il a éconduit le PM en déclarant qu’il ne reconnaît pas le PR IBK comme Chef de l’Etat réélu avec un peu moins de 70% de voix dénote du désespoir de cet homme qui pensait s’installer dans son poste de ministre pendant 10 ans Que Me Bathily sache qu’il n’a ni le monopole des vacheries, ni celui des petites phrases assassines. Nous en avons mare de sa discourtoisie et de ses coups de gueule à la noix. Il a été l’incarnation du pouvoir du PR IBK pendant presque 5 années à la tête de ministères régaliens et la décence veut qu’il se taise. Nous avons toutes ses vidéos et en plus d’être égocentrique il est pétri de futilités et de contradictions.
Le misérabilisme lyrique de cet assoiffé du pouvoir frise le ridicule. Celui qui a eu l’idée à la fois haineuse et maladroite de monter une plainte contre ATT en induisant IBK en erreur est en train de perdre la raison et il doit comprendre que la rancune ne peut aucunement prospérer sur la vérité et la justice.
Abdramane DIOMANDE :
« C’est un homme sans parole et sans aucune bonne foi »
Le ridicule ne tue pas au Mali, sinon Mohamed Aly Bathily doit disparaître à cause de la honte. C’est un homme sans parole et sans aucune bonne foi.
Salif Bléni :
« C’est vraiment désolant »
Voir un homme comme Bathily dire de telles absurdités est vraiment désolant. Mais, cela nous montre aussi à qu’el point cet homme est un malhonnête, un homme prêt à tout pour son propre intérêt. Mais, qu’il sache une seule chose : le peuple maliens n’est pas dupe et on ne va pas nous laisser distraire par un homme comme lui.
Kah TRAORE :
« Il se croit toujours en campagne »
Et puis il se croit toujours en campagne. Or c’est l’heure de travail. N’importe quoi. Avec ces idioties d’opposition qui n’a même pas 0,01pour cent.
Yaya POUDIOUGO :
« Ce Monsieur est un traître »
Ce Monsieur est un traître. Il a suivi IBK depuis 5 ans et après avoir été viré il dit tchou et tcha.
Yacouba DIENG :
« C’est un homme de droit »
IBK l’a pris parce qu’il a la capacité de travailler. IBK ne l’a pas nommé par gratitude. C’est un homme de droit et un travailleur aussi.
IB Smarty KONATE :
«Bathily a vite oublié »
Bathily a vite oublié. C’est un vrai apatride, les Maliens ont honte quand Mohamed Bathily se dit Malien parce que son comportement n’est pas honorable.
Paul DIARRA :
«Il ne connait pas la loi »
Pour moi Bathily est un comédien, il ne connait pas la loi, il se base de quelle la loi pour dire que le président IBK n’est pas le président de la république du Mali? La cour constitutionnelle qui est habilitée à dire les choses, elle a réclamée que le président IBK a été élu président du Mali, et IBK à son tour à nommer ou bien reconduit SBM comme PM donc la comédie doit prendre fin.
Moussa KEITA :
« Le papa national des Gandja men »
Le papa national des Gandja men nous parle de quelle loi ? Parce que la loi du Mali nous dit de respecter les décisions de la Cour constitutionnelle en toute circonstance. Décidément, même son drogué de fils est plus républicain que lui.
Souleymane KONE :
« L’ennemi numéro 1 de la nation »
C’est un assoiffé de pouvoir, l’ennemi numéro 1 de la nation. En plus il est trop naïf.
Sidiki TRAORE :
«Un traître restera un traître »
Si j’étais lui, Mohamed Ali Bathily, j’allais me suicider ou j’allais quitter le pays ; mais un traître restera un traître.
Info-matin