Pau n’a visiblement pas de pot. Désigné pour accueillir le 16 décembre courant le sommet dit de la clarification entre le président français et ses homologues des cinq pays du Sahel sur la présence des forces françaises de plus en plus critiquée, la ville-garnison a vu la rencontre reportée après la mort de 71 militaires nigériens dans une attaque terroriste, le 10 décembre. Elle recevra ce lundi le tête-à-tête Macron-présidents sahéliens dans une autre atmosphère très lourde et morbide avec un autre massacre dont a été victime l’armée nigérienne en fin de semaine dernière avec la mort de 89 militaires.
Ce nième horreur a surtout confirmé l’installation et la participation de chefs terroristes venus de la Libye, de l’Afghanistan et de la Somalie et qui ont conduit sur le terrain les dernières attaques. Il nous revient que l’arabe était la langue de communication des assaillants, rendant urgente et incontournable la mise en place d’une large coalition internationale. Lire la suite sur aumali…
DAK
Source: l’indicateur du renouveau