Ici, des vieillards bastonnés et des familles entières sont obligées de quitter leurs villages dans les contrées de la région de Koulikoro. Cela se passe dans l’indifférence des autorités de Bamako et des organisations de défense des droits humains plutôt interpellés par les exactions dénoncées dans les médias occidentaux, disons français.
Entre-temps, les pauvres victimes de ces crimes à huis clos peuvent continuer à souffrir de leur belle souffrance qui dure depuis plus de deux ans sans que cela ne suscite un traitement judiciaire approprié.
DAK
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